Fixez le juste prix et scrutez le marché avant de vendre

Posez-vous d’abord des questions à propos de la demande sur le marché local, les biens que vous avez mis en vente se vendent-ils ? À quel prix ? En cherchant alors quelques informations sur Internet, vous pouvez réaliser votre étude de marché préalable à la mise en vente. Les professionnels de l’immobilier comme les notaires publient souvent des notes de conjonctures qui vous seront utiles. Vous obtiendrez ainsi une bonne idée des prix moyens au mètre carré et de leur évolution, grâce à ces données. Toutefois, cette étape peut encore être approfondie, car de nombreux sites peuvent vous épauler tels que la base de données Patrim qui est installée par la Direction générale des finances publiques (DGFIP). Vous pouvez y accéder sur le site impôts. gouv.fr. Une fois dans l’interface « Espace Particuliers », suivez l’onglet « données publiques » ensuite cliquez sur l’option « rechercher des transactions immobilières pour m’aider à estimer mon bien ». La liste de toutes les ventes immobilières du secteur, portant sur des biens similaires au vôtre, s’y trouve.

Ajustez votre tarif en fonction du marché local

En discutant avec les agents immobiliers du quartier et en faisant le tour des petites annonces locales, vous pouvez ajuster votre prix de vente. Sachez que ce dernier se détermine en fonction de l’appétit des acheteurs et des autres biens mis en vente dans le même secteur. Sauf si vous offrez des prestations ou un emplacement exceptionnel, ajustez votre tarif au plus serré. Vous pouvez même céder deux pièces dans un quartier où cette surface encombre les petites annonces. Encore mieux, si les acheteurs ne se battent pas vraiment. Ce qui explique l’intérêt de bien connaître le marché avant de fixer un prix.
Dans le cas où votre bien est peu attractif : rez-de-chaussée ou étage élevé sans ascenseur, état défraîchi… dès le départ, affichez-le avec une décote. Si au bout de deux semaines votre annonce n’a généré aucun contact, vous avez sans doute surestimé le prix de vente d’environ vingt pour cent, soyez rapide et ajustez immédiatement votre tarif.
La surcote est d’environ quinze pour cent, si vous recevez des visites, mais aucune offre. Dans ce dernier cas, il vous faut rapidement baisser le prix de mise en vente, de cinq à dix pour cent en une seule fois. En effet, cela vous permet d’éviter une série de petits rabais de semaine en semaine. Ces rabais envoient un mauvais signal aux acheteurs qui seront de plus en plus coriaces durant les négociations.

Pour bien vendre votre bien

La première erreur serait de grossir le prix de vente de votre bien, histoire de laisser une marge pour la négociation. L’agent immobilier a estimé votre maison à 200 000 euros et vous la vendez à 225 000 euros ? Grossière erreur ! Rappelez-vous que si cet expert a donné cette estimation, c’est que c’est le prix correspondant au marché local. En gonflant votre prix, vous n’attirerez personne et vous risquez d’attendre longtemps avant une première visite. Si vous voulez en tirer 200 000 euros, il serait mieux de dire tout simplement que c’est un prix fixe. Deuxième erreur qu’il ne faut pas commettre, c’est de vous baser sur le prix d’achat. Si vous avez acheté votre appartement à 150 000 euros il y a 10 ans, il ne prend pas forcément de la valeur aujourd’hui. Différents facteurs peuvent faire en sorte que l’appartement ne peut être vendu qu’au prix d’achat ou même moins.

Donnez une image exacte de votre bien

Si votre maison a besoin de quelques travaux de rénovation, tenez-en compte dans le prix de vente. Au besoin, faites vous-même la peinture ou remplacez la tapisserie pour en tirer un bon prix. Pour les gros travaux, vous êtes dans l’obligation d’en informer les visiteurs. Autre erreur à éviter, c’est de surestimer la surface du bien, ce qui vous coûtera cher. Et enfin, évitez de diffuser des photos de votre bien un jour nuageux, n’oubliez pas les photos de la terrasse, du potager, de la piscine etc.

Pensez au dropshipping

En réalité, lorsque vous débutez, focalisez-vous sur le commerce de marchandises de petite taille. En clair, vous vendez des produits que vous achetez vous-même chez un fournisseur. Ce procédé vous permettra d’adopter le principe du dropshipping, une méthode commerciale qui facilite l’entrée des débutants dans le secteur de l’e-commerce. Concrètement, le dropshipping consiste à exposer sur votre site internet des produits dont vous n’assurerez pas la livraison et encore moins le stockage. Vous êtes un intermédiaire entre le « vrai » vendeur (qui peut également être le fabricant) et les consommateurs. Chaque fois qu’un internaute passe une commande sur un article, vous en faites la notification au vendeur. Celui-ci se chargera alors de faire la livraison directement chez l’internaute. Pour faciliter la gestion de votre affaire en dropshipping, il est recommandé d’utiliser une application de dropshipping : un grand nombre des tâches liées à la gestion des commandes, des approvisionnements, des réclamations et des paiements seront ainsi automatisées. Cette automatisation est nécessaire pour que vous puissiez garder le contrôle sur votre commerce digital. Effectivement, de par les spécificités du dropshipping, le suivi de votre activité n’est pas du tout évident. Sans méthodologie, sans une organisation rigoureuse, vous risquerez grandement de vous mélanger les pinceaux. Ceci peut déboucher sur des erreurs dans les commandes, des retards de livraison, des problèmes de paiement… Bref, vous courrez le risque de rencontrer des difficultés susceptibles d’être néfastes à votre chiffre d’affaires. Ceci étant, les avantages du dropshipping sont nombreux. Notamment, vous n’avez pas besoin de louer un entrepôt. Vous avez uniquement besoin d’un petit local de bureau. Imaginez les économies que vous ferez sur la location ! Avouez que c’est assez alléchant !

Soignez vos livraisons

Lorsque vous cherchez des fournisseurs en dropshipping, ciblez ceux qui utilisent une formule de livraison express. La rapidité de la livraison est un critère de fidélisation de la clientèle. Ne l’oubliez jamais ! Par exemple, si votre fournisseur se trouve en Chine ou à Hong Kong, voyez s’il utilise la solution ePacket reconnue mondialement pour son efficacité. En conséquence, lorsque vous faites votre sourcing, surtout, n’oubliez pas de demander au fournisseur la solution qu’il utilise pour livrer ses commandes. Si la livraison n’est pas de qualité, vous pourrez compromettre la pérennité de votre activité d’e-commerce. La livraison ne concerne pas uniquement la rapidité. Vous devez également prendre en considération la question tarifaire ainsi que les solutions d’emballage.

Que comporte un avis de valeur ?

Un avis de valeur peut être fourni oralement ou par écrit par un expert immobilier après la visite du bien en question. Ainsi, l’avis de valeur est toujours effectué à la demande du vendeur. Mais il peut aussi être effectué dans le cadre d’une vente immobilière en cours, avant la signature d’un contrat de vente. Donc, on peut dire que contrairement à l’expertise immobilière, un avis de valeur a plus de valeur marchande que de valeur constitutionnelle. Par ailleurs, il faut savoir qu’il n’engage pas la responsabilité de son demandeur. Un avis de valeur comporte brièvement la dénomination du bien immobilier avec toutes ses caractéristiques.

Comment accomplit-on un avis de valeur ?

Un expert immobilier réalise l’avis de valeur en se basant sur différents paramètres lui permettant d’apprécier la valeur du bien. Ainsi, il peut prendre en compte certaines caractéristiques du bien, son environnement local, sa surface, son emplacement, l’urbanisme, le règlement de copropriété, la fiscalité et la situation du marché. À l’aide de tous ces éléments, l’expert pourra évaluer le prix moyen que le propriétaire peut proposer durant la vente de son bien. L’agent immobilier peut également utiliser un logiciel d’estimation immobilière comme e-valim pour obtenir rapidement et facilement un avis de valeur sur un bien.

L’intérêt d’un avis de valeur

L’avis de valeur constitue un moyen efficace pour estimer la valeur d’un bien immobilier. Il permet, dans le cadre d’une transaction, d’éviter de sous-valoriser ou survaloriser une maison ou un appartement. Cet avis peut être utile aussi bien au propriétaire qu’à l’acheteur. Cela leur permet d’être sûrs de réaliser une bonne affaire. Toutefois, il faut savoir que cette prestation est toujours payante auprès d’un expert immobilier.

D’autres aménagements pour pouvoir tirer un bon prix de sa maison

Pour tirer un bon prix de sa maison, il faut penser modulable pour donner au futur acquéreur une idée d’autres agencements ou configurations qu’il peut réaliser éventuellement, lorsque bébé pointera son nez par exemple. En veillant au sol, on fait beaucoup pour tirer un bon prix de sa maison, car un parquet ou un revêtement de sol propre flatte le regard, rassure mais surtout, donne cette si précieuse sensation de volume.

Tirer un bon prix de sa maison : quelle satisfaction !

Arriver à tirer un bon prix de sa maison ne peut qu’être satisfaisant sous tous les rapports. Mais pour y parvenir, il faut faire le maximum, notamment en aidant les visiteurs à se projeter, en se concentrant sur les atouts de la maison, en montrant le potentiel de chaque pièce, aussi petite soit-elle ! Et si on dispose d’un tant soit peu d’espace sous combles ou au sous-sol, ne pas hésiter à les mettre en valeur. Tout ceci réuni donne de grandes chances de tirer un bon prix de sa maison.

Vente viagère : les différentes formes de paiement

Lors d’une vente viagère, les deux parties, l’acheteur et le propriétaire de maison s’accordent sur le mode de paiement du bien. L’entente sera contractualisée chez le notaire et définira quel sera le type de paiement viager. S’il s’agit d’un bouquet viager, le débirentier c’est-à-dire l’acheteur aura à payer une somme de départ au crédirentier, contrairement à la rente viagère qui consiste à faire des versements périodiques. Si le débirentier veut revendre la propriété, il s’agit plutôt d’une revente viagère. Quant à l’assurance viagère, c’est une forme d’assurance qui revient aux héritiers en cas de décès de la personne âgée, alors que la vente viagère est déjà contractée.

Profitez des avantages de la vente viagère

La vente viagère est une affaire de négociation, il faut savoir en tirer des avantages. Le but est en effet d’acquérir le bien en allégeant le plus que possible la valeur de la rente ou du bouquet selon l’option que vous aviez choisie. Ce qu’il y a c’est que ces valeurs sont déterminées à partir de certains critères. Le premier est l’occupation des lieux, si le crédirentier c’est-à-dire la personne âgée vit encore dans l’habitation, la rente viagère est moins conséquente. Le deuxième critère concerne le bouquet. La valeur du bouquet est déterminée en fonction de la valeur locative du bien, c’est-à-dire en se référant au marché locatif de la zone où se situe la propriété. Il faudra seulement retenir que votre investissement vous sera plus rentable si la valeur locative est élevée, car la rente que vous aurez à payer sera moins conséquente qu’avec une valeur locative faible.

Les conseils pour réussir son achat

Pour réussir votre achat immobilier et réduire les risques de faire une mauvaise affaire, il faut respecter quelques règles de préparation. Pour commencer, il est important de bien déterminer la nature de son projet : est-ce un projet d’investissement ou un projet professionnel. Puis, définir tous ses critères de choix par rapport au type de logement, au quartier ou encore aux qualités de vie environnante. La définition du budget que l’on accorde à son futur achat ne devra pas aussi négligée. A part cela, il est conseillé d’être plus méthodique et de faire appel à des professionnels en la matière pour avoir de conseils et se faire accompagner tout au long des procédures.

Les erreurs à éviter

Les mauvaises surprises sont les premières choses à éviter lors d’un projet d’achat immobilier. Pour se faire, il faut toujours bien vérifier l’état de la maison et inspecter l’environnement. A part cela, il faut prendre en compte le profil de la maison ainsi que les droits d’enregistrement. Faire une étude des charges de copropriété est essentielle en cas d’achat d’une maison collective. Se renseigner sur les taxes locales permet d’éviter une hausse inattendue par rapport aux impôts locaux.