Son fonctionnement

Pour débuter en crowdlending, vous devez d’abord comprendre son fonctionnement. Le crowdlending repose sur la participation de nombreuses personnes au financement d’un projet d’un particulier ou d’une entreprise. Parce qu’il repose sur la participation de nombreux investisseurs, il offre des tickets d’entrée (montant minimum à investir) bas, accessibles au plus grand nombre.

Pour devenir investisseur, vous devez, au préalable, vous inscrire sur une plateforme dédiée. Cela va vous permettre d’accéder à différentes fiches de présentation correspondant à des projets nécessitant un financement.

Chaque fiche résume tous les détails essentiels du projet, tels que ses objectifs, son budget, la durée de remboursement, les intérêts à percevoir, les garanties offertes, etc. Vous pouvez ensuite sélectionner le ou les projets que vous souhaitez financer et indiquer le montant que vous voulez placer.

Deux cas de figure sont alors possibles. Le premier est quand la collecte va à son terme et le projet est lancé. Le second est quand l’ensemble des investisseurs n’arrive pas à collecter le montant demandé (ce qui est rarissime). Dans ce dernier cas, l’opération est immédiatement annulée et vous récupérez votre versement.

Quid des risques ?

Comme tout type d’investissement, le crowdlending présente des risques, même si des garanties existent. Ils varient en fonction de la plateforme sur laquelle vous investissez et surtout du projet proposé à la collecte. Les principaux risques auxquels vous pouvez être exposé sont la défaillance de l’entreprise porteuse de l’opération ou du projet à financer. Cela peut entraîner une prolongation de l’opération, un bénéfice moindre et, dans certains rares cas, la perte du capital investi dans le projet.

En tous les cas, si vous souhaitez débuter en crowdlending, il est conseillé de ne pas y investir toutes vos économies au risque de vous retrouver sans aucun sou. Ensuite, variez vos placements, de cette manière si un projet n’aboutit pas, vous pouvez espérer avoir des bénéfices sur les autres. Enfin, n’investissez pas dans un projet que vous ne comprenez pas.

Le fonctionnement des Fonds Commun de Placement dans l’Innovation

Créés en 1997 avec une loi de finances, les FCPI sont un type de placement permettant aux investisseurs de financer à 60% au minimum des entreprises innovantes tout en jouissant d’un rabais d’impôt. Les 40 % restant des fonds sont répartis dans d’autres solutions financières, notamment des actions, des obligations ou des SICAV. Les FCPI sont considérés comme des investissements à risque en raison du fait que l’argent peut être placé dans des entreprises non cotées. Néanmoins, en compensation de ce risque, l’investisseur profite des avantages fiscaux considérables. Notons que ce ne sont pas toutes les PME qui sont considérées comme des entreprises innovantes éligibles aux FCPI. Il faut répondre à quelques critères précis comme le lieu géographique du siège social qui doit se situer dans l’espace économique européen, l’existence depuis plus de 10 ans, un effectif global ne surpassant pas les 2 000 personnes, être soumise à l’impôt sur les sociétés et ne pas être cotée sur un marché réglementé. Par ailleurs, pour être éligible aux FCPI, la PME ne doit pas pratiquer une activité de gestion de patrimoine, que ce soit immobilier ou mobilier.

A qui sont destinés les FCPI ?

Tout le monde peut investir dans les FCPI. Toutefois, puisque c’est un investissement à risque, il faut avoir certaines expériences en placement. Donc, d’une manière générale, les FCPI s’adressent essentiellement aux épargnants qui aiment les risques et désirent varier leur placement en profitant de la force des PME pas encore estimées en bourse. Les FCPI sont également dédiés aux contribuables français qui sont victimes d’une forte pression fiscale. Grâce aux FCPI, ils peuvent faire baisser le coût de leur impôt.

Qu’est-ce que l’investissement Pinel ?

L’investissement Pinel est un placement dans l’immobilier locatif. Il s’agit donc d’acheter dans le neuf ou dans l’ancien dans le but de faire louer pendant 6 à 12 ans comme l’exige la loi. Contrairement à une mise en location simple, en respectant les conditions d’éligibilités de la loi Pinel, vous pourriez profiter d’un abattement allant jusqu’à 30 000 euros. Pour cela, vous devez respecter un plafond de loyer et faire louer votre bien à des ménages modestes sans condition de revenus.

Choisir le bon emplacement pour votre bien

Comme pour tout investissement locatif, toutefois, la réussite de votre Pinel dépend aussi de son emplacement et de sa facilité d’accès. Vous devez tenir compte de la tendance du marché dans la région où vous envisagez d’investir pour attirer l’attention et ainsi éviter les carences locatives. Attention, pour être éligible à ce dispositif, vous devez acheter uniquement dans la zone A et B. Les limites de zonages ont récemment changé.

Choisir le bon type de bien

La loi Pinel vous permet d’acheter dans le neuf ou dans l’ancien. Préférez la première solution. C’est le gage d’avoir un bien qui sera directement prêt à utilisation. Cela vous fera gagner du temps et cachera moins de vices ou encore de frais cachés.

Confier votre bien à un expert

Enfin, faites appel à un expert qui assurera la gestion de votre bien. Ce ne doit pas être n’importe quel courtier immobilier. Il vous faut un spécialiste de l’investissement locatif Pinel. C’est le gage d’une bonne prospection pour votre bien et d’une bonne valorisation de ce dernier.

En quoi consiste l’investissement en actions non cotés ?

Pour placer votre argent, vous avez le choix entre l’investissement en bourse et le portefeuille d’actions non côté, également connu sous le nom de private equity. Ils se différencient par le mode d’acquisition de vos actifs. En effet, les actions non cotées ne sont pas disponibles sur le marché boursier.

Si vous êtes à la recherche d’un projet d’investissement, vous aurez à vous adresser directement à la TPE ou à la PME dans laquelle vous voulez placer votre argent. Autrement dit, le private equity consiste à acheter des parts de société en phase de développement afin de les aider dans leur croissance. Comme tous les projets, le retour sur investissement se fait grâce à des dividendes perçus annuellement. En tant qu’actionnaire, vous avez également le droit de vote à l’assemblée générale.

Pourquoi investir dans un portefeuille d’actifs non cotés ?

La majorité des entreprises françaises sont actuellement non cotées en bourse. Cela vous offre la possibilité d’investir au sein de nombreuses sociétés opérant dans tous les secteurs d’activité. Vous pouvez vous orienter vers une branche qui vous passionne et que vous souhaitez voir se développer ou investir dans un secteur que vous savez en pleine croissance.

L’objectif étant de faire une plus-value, sachez que les actifs non cotés offrent des rendements intéressants, pouvant atteindre les 10 %. Ce type d’investissement peut ainsi être plus rentable que les autres types de placements habituels (immobilier, actions en bourse, etc.). En plus, l’investissement non coté vous procure des avantages fiscaux, dans le sens où vous contribuez à l’économie nationale. En effet, soutenir les TPE et PME favorise la création d’emplois. Grâce à votre investissement, vous pouvez espérer une réduction d’impôts sur le revenu équivalente à 18 % du montant placé.

Comme tout investissement, les actions non côtés comportent cependant des risques. Leur principal inconvénient réside dans le fait que vous placez votre argent dans une jeune société avec un avenir encore incertain. Aucun marché réglementé n’est également en mesure d’évaluer la valeur de vos actions si vous prévoyez de vendre vos parts de la société. Par ailleurs, la somme investie est généralement bloquée pendant une longue durée.

Comment investir dans un portefeuille d’actifs non cotés ?

Il existe différentes manières d’investir dans un portefeuille d’actifs non cotés, la principale étant de recourir à l’utilisation des comptes-titres ou des PEA (Plan d’Epargne en Actions). Cela signifie que vous devez passer par un intermédiaire financier, à savoir les banques, les plateformes d’investissement participatif, etc. Cette technique vous permet également de racheter les parts d’un autre investisseur. Toutefois, vous avez la possibilité d’investir via les fonds d’investissements, comme celui sur ce lien. Dans ce cas, votre choix peut se porter sur :

– Les FIP (Fonds d’Investissement de Proximité) avec des PME de moins de 250 salariés et de moins de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires ;
– Les FCPI (Fonds Commun de Placement dans l’Innovation), c’est-à-dire les sociétés innovantes employant moins de 2000 salariés ;
– Le FCPR (Fonds Communs de Placement à Risque) qui regroupe des entreprises récentes.

Les SCPI de rendement

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier ou SCPI sont un levier financier qui vous permet d’avoir accès au marché de l’immobilier tertiaire en France. Ce dernier concerne surtout les bureaux ou commerces entre autres. Effectuer un placement en SCPI peut permettre de financer des parcs immobiliers qui seront mis en location à des professionnels.

Si vous disposez de liquidités et que vous souhaitez bénéficier de placements qui vous aideront à générer des revenus réguliers, les SCPI sont faites pour vous. De plus, vous n’aurez pas à vous tracasser quant à la gestion. Grâce à ce type de placement, vous pouvez avoir un rendement net d’environ 4 %. Cela découle de l’augmentation croissante de la demande dans le secteur de l’immobilier professionnel lié au développement du Grand Paris entre autres.

Le crowdfunding immobilier

Ce type de placement est destiné aux investisseurs qui recherchent un rendement rapide en l’espace de 3 ans maximum. Le crowdfunding immobilier se définit comme un mode de financement participatif de projets immobiliers. Ce secteur est en pleine croissance et les encours s’évaluent à environ 300 millions d’euros. Effectuer ce placement est assez facile, car vous n’aurez qu’à créer un compte sur une plateforme et à choisir le mode et le montant d’investissement qui vous conviennent.

Le crowdfunding immobilier est en plein essor en France et est particulièrement apprécié par les jeunes à cause de sa flexibilité. En effet, ils sont plus rassurés de placer leur capital sur un investissement locatif indirect au lieu de se procurer une résidence principale. Ce mode de gestion passive fait d’ailleurs de plus en plus d’adeptes.

Investir en Bourse

Ce type de placement est plutôt dédié aux traders, aux initiés et aux investisseurs qui n’ont pas peur de prendre des risques financiers. Donc, si vous êtes novice, commencez par vous familiariser au concept à l’aide de portefeuilles virtuels et vous faire coacher par un professionnel. Ce type d’investissement est à la fois intéressant et rentable dans la mesure où la tendance est à la baisse des marchés financiers au profit des actions. Mais pour réussir votre coup, il faudra bien sûr choisir les bonnes actions. Les plus prometteuses sont généralement celles liées aux chaînes de divertissement, à l’immobilier, au marché du luxe, à l’aéronautique entre autres.

Placer votre argent en achetant des actions vous permet de bénéficier de certains avantages. C’est, en effet, un excellent moyen de soutenir les entreprises et l’économie. Vous avez également la possibilité d’épargner pour votre retraite, financer les études de vos enfants, ou encore acheter une résidence.

Le Plan Épargne Retraite (PER)

Ce type de placement s’adresse aux épargnants qui se trouvent dans la tranche d’âge de
35 à 50 ans et qui ont un taux d’imposition se situant entre 30 et 45 %. Ce système de placement se présente sous forme d’une enveloppe fiscale répartie en trois principales catégories :

– le PER Individuel (PERIN) en substitution au PERP, le régime Préfon Retraite et le contrat Madelin,
– le PER Collectif (PERCOL)
– le PER Catégoriel (PERCAT)

Pour un Plan d’Epargne Retraite, toutes les sommes que vous avez déposées sont bloquées jusqu’à ce que vous atteigniez la période de retraite. Certaines situations exceptionnelles peuvent engendrer un retrait anticipé. Le PER est assez intéressant comme placement dans la mesure où les autres dispositifs d’épargne ne sont plus d’actualité.

L’assurance vie

L’assurance vie est un placement financier qui permet à une personne d’épargner une certaine somme d’argent et de le transmettre à un bénéficiaire au moment de son décès. Grâce à ce placement, l’assuré pourra profiter de différents avantages fiscaux. De plus, il constitue un placement assez rentable, car les encours qui y sont liés sont évalués à 178 milliards d’euros.

Un placement en assurance-vie peut se présenter sous diverses formes en fonction de vos besoins :
– Le contrat fonds en euros : qui est sans risque et géré par la compagnie d’assurances.
– Le contrat en unités de compte : la première partie est investie dans les fonds en euros et l’autre dans d’autres placements financiers comme les actions en bourse.

Vous pouvez faire un tour sur ce site, si vous voulez savoir plus de détails sur les placements pouvant rentabiliser votre investissement. Vous y trouverez un spécialiste de référence qui peut vous conseiller et vous accompagner dans toutes vos démarches.

Investissement rentable

L’avantage d’investir dans une SCPI est de bénéficier d’un investissement rentable. En effet, l’épargnant peut percevoir plus de 5 % de rendement par an. Placement sur le long terme, la pierre papier lui rapporte une somme assez importante lui permettant de se constituer un revenu supplémentaire durant sa retraite. Par exemple, pour un investissement de 100 000 euros, un contrat de 6 ans génère plus de 6000 euros tous les ans. Si l’investisseur décide de prolonger son engagement 12 ans de plus, il pourra profiter d’un bénéfice de 102 000 euros.

Placement sans risque

En investissant dans une SCPI, les risques sont minimes. La pierre papier permet d’investir dans plusieurs biens immobiliers. Elle assure la diversité des placements, donc la mutualisation de risques. Si un bien n’est plus loué, les autres parts permettent encore de couvrir les revenus mensuels de l’investisseur. En cas de besoin, il est possible de revendre quelques parts. Contrairement aux autres placements, la pierre papier permet également de financer l’investissement par un crédit, ce qui est bénéfique en cas de problèmes financiers. Si ce type de placement vous intéresse, bénéficiez des conseils en investissement des professionnels sur https://www.accueil-scpi.fr pour vous guider dans le choix des SCPI les plus rentables.

Tranquillité de gestion

Avec les SCPI, les investisseurs n’ont pas beaucoup de tâches à faire. En effet, la société gestionnaire des parts prend tout en charge, de la recherche de locataire en passant par les travaux d’entretien jusqu’à l’encaissement des loyers. Elle connaît également l’évolution du marché immobilier pour challenger les marchés actions. Qu’il s’agisse d’un hôtel, d’une résidence ou d’un bureau, elle est en mesure d’assurer la gestion de chaque bien sans qu’une part n’engendre de pertes pour l’investisseur.

Bien choisir l’emplacement du local

Le local commercial peut rencontrer du succès si le locataire réussit à lancer son affaire. Il lui faut une clientèle fidèle et un grand passage. L’emplacement dans un quartier populaire serait un vrai plus. Une rue piétonne constitue une véritable manne à explorer, même s’il y a déjà de la concurrence. Il faudra également un parking pour garer les véhicules des clients et des livreurs. La signature d’un bail ne retient pas le commerçant s’il a du mal à démarrer sa boutique.

Prêtez attention au type du bien

Il existe des règles pour l’ouverture d’un restaurant. Le bien devrait par exemple avoir un plan autorisé. Certaines obligations techniques sont également applicables pour les magasins spécifiques tels que les bijouteries et ceux qui gardent des marchandises périssables. Vous devriez penser à ces détails avant d’acquérir un local commercial. Ce dernier requiert de coûteux travaux. Il faut aménager la cuisine ou la chambre froide. Les fenêtres et les portes devraient laisser la lumière inonder votre maison. Demandez l’avis d’un architecte pour en avoir le cœur net.

Faire le bon choix entre un bâtiment neuf et ancien

L’enjeu d’un local commercial serait avant tout de trouver un locataire fixe. Ce professionnel hésite à y rester s’il s’agit d’un bâtiment totalement récent. Il préfère généralement une adresse déjà exploitée par un prédécesseur commerçant ou restaurateur. D’ailleurs, il lui faut souvent discuter avec cette personne. Cela dit, les biens immobiliers flambants neufs bénéficient parfois d’un excellent emplacement. Ils se trouvent de temps à autre dans une zone résidentielle où les habitants ont un pouvoir d’achat élevé. C’est une alternative aux quartiers populaires où les marchandises bon marché sont à privilégier.

Une demande toujours en hausse

Les chambres médicalisées en Ehpad sont de plus en plus saturées. Les gens préfèrent de loin l’Ehpad à la simple maison de retraite pour une meilleure prise en charge de leurs parents âgés et dépendants. Ce type d’établissement est plus que nécessaire en France où l’espérance de vie ne cesse d’augmenter. La génération du Papy Boom est en effet en marche. Le nombre de personnes âgées de plus de 80 ans va alors augmenter de 94% d’ici 2040. Face à la hausse de la demande, les places manquent considérablement. N’hésitez pas à miser sur l’investissement Ehpad dans le Tarn et Garonne, à Paris, dans la Haute-Marne et la Seine Maritime.

Un marché réglementé

Dans tous types d’investissement, la concurrence fait toujours fureur. Ce qui n’est pas le cas avec l’Ehpad. L’ouverture d’un tel établissement est soumise à une autorisation délivrée par le CROMOS ou comité régional de l’organisation sociale et médico-sociale. Vous ne risquez pas d’avoir un établissement concurrent à deux pas du vôtre. Par ailleurs, l’investissement reste très rentable grâce à la prise en charge nationale de la dépendance. Vous obtenez trois sources de financement, dont le loyer de l’occupant, les aides au logement du Conseil général et la participation aux soins de l’assurance maladie. On affiche ainsi une rentabilité moyenne de 4,2 à 5% brute par an.

Une fiscalité très attractive

Les investisseurs s’intéressent toujours à la fiscalité de leurs investissements. Si vous investissez dans l’Ehpad, vous bénéficiez de nombreux avantages fiscaux. Vous obtenez une réduction d’impôt de 11% du prix de revient de votre investissement, étalée sur 9 ans si vous recourez au dispositif Censi-Bouvard. Vous pouvez également jouir d’autres remises d’impôt si vous optez pour le statut de LMP ou LMNP. Enfin, l’investissement Ehpad permet une récupération de la TVA.

La caution personnelle

C’est sans doute la garantie la plus demandée par les établissements financiers. C’est aussi un engagement de lourdes conséquences. En effet, la personne qui se porte garante d’un projet d’autrui devra, dans certains cas, rembourser le prêt en cas de défaillance de l’emprunteur. Un organisme professionnel spécialisé peut tout autant se porter caution pour un emprunt. D’ailleurs, il existe deux types de caution, à savoir la caution simple et solidaire. Pour la première, l’établissement financier se tourne d’abord vers l’emprunteur avant de demander un remboursement à la personne qui a donné son cautionnement. Quant à la deuxième, la banque pourra se tourner simultanément vers les deux contractants. C’est cette deuxième option qui est la plus choisie.

Les garanties réelles

En dehors des cautions, vous pouvez également garantir votre crédit professionnel en mettant en gage un fonds de commerce, une voiture, une épargne, des titres et d’autres biens non immobiliers. Il s’agit d’un nantissement. Toutes les garanties doivent être enregistrées à la Préfecture. Pour les véhicules, tant que l’emprunteur ne rembourse pas la totalité de ses dettes, il ne pourra pas vendre son auto. À la différence, l’hypothèque est également une autre possibilité pour garantir un prêt. Il porte principalement sur un bien immobilier, entre autres une maison ou un terrain. Celui-ci sera donc vendu si la personne ou l’entreprise n’arrive pas à payer la totalité de son crédit. Puis, toute la somme reviendra à la banque.

Comme toute autre plantation, une haie s’entretient. Mais l’entretien, aussi complet soit-il, sera inefficace, si en amont, on n’a pas choisi le bon type de haie pour sa propriété. En effet, plusieurs critères sont à considérer avant d’installer une haie devant sa maison : le sol, l’espace, le climat, etc. On a essayé pour vous de catégoriser les haies à installer selon ces différentes conditions.

Conditions climatiques

– Le vent :
Le climat local influence beaucoup la poussée des plantes. Dans les régions où un vent marin souffle, les jeunes pousses se grillent facilement (par le vent). Ainsi, les plantes qui conviennent le plus pour une haie y sont le pin noir, l’éléagnus et le pin maritime. Par contre, dans les régions avec un vent de terre, les courants d’air sont brusques et souvent secs. La haie idéale est l’orme.
– Le sol :
Spécifiquement pour les sols secs, la poussée des plantes est ralentie à cause de la rareté de l’eau. Par ailleurs, la saison estivale est longue pour ces régions à sols secs. On a donc besoin d’une plante qui résiste à la sécheresse, ne nécessitant que très peu d’arrosage. La coronille, le genêt d’Espagne et le Pyracanthaconviennent à ce type de sol.

Les conditions d’espace

– En zone urbaine :
Dans les villes, les plantes ne disposent que d’un petit espace pour se développer, notamment au niveau de la racine. Le bambou y convient le mieux. Pouvant atteindre une hauteur de 4m, il crée bien écran et se taille facilement. Si par ailleurs la zone est exposée à la pollution, le berbéris, le laurier-sauce ou encore le photinia convient le mieux pour une haie.
– Pour un petit espace :
Les racines disposent d’un grand espace pour se développer, contrairement aux feuillages. La haie ne dispose par exemple que de 30cm. Le hêtre ou le charme peuvent très bien s’y adapter, mais requièrent un entretien régulier.